LA FABRIQUE des langues
entreprise créée
en Janvier 2017
pour faire de ma passion mon activité professionnelle
Siège social : 48 Grande Rue, 95 000 BOISEMONT
Portable : 06 46 19 59 28
Courriel : pierre-yvesbernolle@lafabriquedeslangues.com
Une activité du groupe Port Parallèle SA SCOP à capital variable
RCS PARIS 492 196 209 – SIRET 492 196 209 000 26 – Code naf 7022Z
TVA INTRACOM : FR28492196209
70, rue Amelot 75011 Paris – Tel : 00 (33) 1 53 19 96 15
Depuis tout jeune, je me passionne pour les mots et pour la langue. Mon grand plaisir, me faire offrir des dictionnaires pour Noël. Ma toute première collection, commencée à dix ans, la collection » Le Souffle des mots » chez Larousse (1ère édition 1988) avec son volume Saute, Paillasse ! – Les sens cachés des mots de la langue française ou cet autre Surpris ou étonné ? – Nuances et subtilités des mots de la langue française. Mon livre de chevet, Le Dictionnaire amoureux des langues de Claude Hagège.
J’ai d’abord découvert et appris, dans le cadre de ma formation l’ALLEMAND, l’ANGLAIS et le LATIN.
J’ai ajouté le JAPONAIS en LV3, d’abord étudié par le CNED au lycée ; puis j’ai poursuivi son apprentissage à l’Ecole de Tenri – Paris (méthodes et normes de l’INALCO).
Mon prénom est trompeur, ma famille n’est pas originaire de Bretagne. Mais des intérêts convergents m’ont conduit à m’intéresser au BRETON. J’aime l’Irlande et me suis intéressé à l’IRLANDAIS ; ce qui m’a conduit à découvrir le GALLOIS et le GAELIQUE. Parallèlement, j’aime lire et découvrir tous ces écrits fondateurs qui sont au fondement d’une langue, d’un territoire, d’une culture : l’Edda, le Kalevala, le Mahābhārata – tous écrits étiologiques et contes mythologiques. Voilà comment j’en suis venu au BRETON. Je l’ai abordé en autodidacte et je participe à des stages d’été pour l’éprouver, l’entretenir et améliorer ma maîtrise.
J’aime en réalité les langues confidentielles, parlées par quelques rares locuteurs ou marques de la culture originelle d’une entité géographique. Ses particularismes et les zones d’ombre qui persistent quant à son origine m’ont mené vers le BASQUE.
QUECHUA MAORI GEORGIEN
Le petit dernier en date, le FINNOIS. J’en ai de la même manière appris les rudiments en autodidacte, en lisant une grammaire du finnois que j’ai dégotée en langue anglaise, de A à Z. Une bonne façon de s’approprier le système linguistique de l’intérieur, même si d’aucuns pourraient trouver la méthode rébarbative ! Et les facilités de notre monde connecté me permettent de pratiquer la langue régulièrement, à l’écrit et à l’oral, avec une correspondante finlandaise, aujourd’hui amie, qui s’intéresse elle, en dehors du finnois, au suédois, à l’anglais et au français.
Je dois mon petit côté « savant fou » au syndrome d’Asperger (autisme de haut niveau) que j’ai trouvé dans mon escarcelle à ma naissance. J’ai tendance à me passionner pour tout sujet culturel qui attire mon attention et à l’explorer en profondeur, me l’approprier, m’en nourrir.
MES PASSIONS :
- les langues et cultures du monde,
- la linguistique – phonétique, phonologie, linguistique historique et comparée –
- la littérature, française et étrangère – anglaise, irlandaise, russe, japonaise – et leurs auteurs – Shakespeare, Wilde, Goethe, Beckett …
- l’histoire, de l’Egypte ancienne à la civilisation Incas, de la guerre de Sécession à Pierre le Grand.
- les arts, de la peinture de Bosch au cinéma de Kurosawa.
J’ai depuis quatre ans rempli un certain nombre de missions de traduction, notamment des travaux en anglais et en allemand pour le Musée Toulouse-Lautrec d’Albi (Tarn – FRANCE) :
→ traduction des fiches de salle de l’exposition permanente en allemand ;
→ traduction de documents de médiation pour certaines expositions temporaires en anglais et/ou en allemand.
Je fais aujourd’hui une spécialisation en traduction littéraire avec le Centre Européen de Traduction Littéraire (Bruxelles).
Et j’ai fondé mon entreprise La Fabrique des Langues pour commencer à développer mon activité professionnelle comme traducteur.
Par goût et au vu de mes aptitudes personnelles, j’ai décidé de me spécialiser en traduction dans les domaines de l’Art et de la Culture.
La pratique de traduction y requiert une compréhension fine du contexte intellectuel et un sens aigu du mot. C’est ce qui me plaît.
Je suis volontiers autodidacte et tout travail de traduction dans le domaine culturel
suppose un travail d’information et d’approfondissement particulier et varié. Ma maîtrise de la langue française garantit la justesse et la finesse de la transposition d’une langue à l’autre. J’apporte in fine à tous mes travaux de traduction une rigueur et un perfectionnisme qui me sont naturels.